Les martingales à la roulette pour jouer au casino

Au casino, beaucoup de joueurs parviennent à gagner très gros, lors de leur session de jeu. Certains d’entre eux le doivent uniquement à leur chance. Au contraire, d’autres utilisent des techniques efficaces pour les aider à être bénéficiaires même sur le long terme. La méthode la plus efficace pour empocher beaucoup de gains au casino reste sûrement de coupler la stratégie de base avec un système de comptage de cartes au blackjack. Ce n’est pas une raison suffisante pour croire qu’il s’agit du seul et unique moyen de gagner gros. En effet, à la roulette par exemple, on peut également utiliser une martingale. Il en existe plusieurs qui reposent toutes sur une technique de mise.

La martingale classique

Toutes les martingales s’inspirent de la méthode de d’Alembert, du nom d’un célèbre mathématicien, physicien, philosophe et encyclopédiste français. Celle-ci concerne uniquement les chances simples. Pour la mener à bien, on doit commencer par parier sur noir, rouge, pair, impair, manque ou passe avec une mise assez faible. En effet, après chaque perte, il faut doubler notre pari. Ainsi, chaque fois que l’on parvient à remporter un gain, on récupère toutes nos pertes et on empoche en prime un peu d’argent qui correspond au montant de notre mise initiale.

La grande martingale pour gagner plus

En partant de la méthode de d’Alembert, certains experts ont imaginé d’autres types de martingales. Il y a d’un côté ceux qui trouvent que cette technique ne permet pas de gagner assez d’argent en cas de victoire. Ils ont notamment conçu la grande martingale. Dans son fonctionnement, elle reste très proche de la première méthode. Néanmoins, elle diffère quand même un peu. Ainsi, après chaque perte, elle consiste également à doubler notre pari mais il faut également en plus ajouter aussi la valeur de notre mise initiale. Son grand atout est de permettre de gagner davantage à chaque victoire.

La piquemouche et la whittacker qui augmentent moins rapidement

Malgré leur intérêt indéniable, la méthode de d’Alembert ou la grande martingale possèdent quand même quelques défauts. Ainsi, comme elles impliquent des mises qui augmentent fortement après chaque perte, elles peuvent imposer de parier très gros, en cas de défaites qui s’enchaînent. Cela pose plusieurs problèmes. Tout d’abord, il faut être prêt à mettre en jeu énormément d’argent. De plus, on ne peut pas toujours les mener à bien correctement à cause des limites de mises des tables de jeu.

C’est la raison pour laquelle certains spécialistes ont imaginé d’autres types de martingales qui montent moins rapidement. Parmi elles, il y a notamment la piquemouche. Celle-ci ne consiste pas à doubler sa mise après chaque perte. Il suffit simplement d’augmenter son pari de la valeur de sa mise initiale. En conséquence, elle augmente moins vite. En revanche, à chaque victoire, les gains ne nous permettent pas forcément de récupérer nos pertes.

Il en va de même avec la whittacker entre autres. S’inspirant de la suite de Fibonacci, cette martingale consiste après chaque défaite à miser la somme de ses deux précédents paris. Cela donne par exemple 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, etc.